Dans un premier temps la rubrique "Faire des relevés - Les Outils" vous a présenté les différents outils à votre disposition pour faire des relevés et les
publier.
Cette rubrique est consacrée aux moyens humains sans lesquels rien n’est possible.
Outre les généalogistes amateurs qui individuellement ou en association relèvent les actes de toutes sortes sur les registres communaux ou départements, voici
quelques solutions pour trouver de la main-d’œuvre.
Si vous avez d'autres idées relatives à la main-d’œuvre, merci de nous contacter
ou de nous faire parvenir un article que nous mettrons en ligne dans cette rubrique.
Vous avez d'autres conseils à prodiguer ou vous souhaitez laisser un commentaire : c'est ICI
Créé le 12 mai 2010 le Service Civique propose aux jeunes de s'engager pendant quelques mois auprès d'une association ou d'une collectivité territoriale dans le cadre d'une mission d'intérêt général.
Par le biais d'un agrément vous pourrez accueillir des personnes volontaires en Service Civique : une solution intéressante pour "recruter" une main-doeuvre dans le cadre d'une mission d'intérêt général et d'aide à la recherche en généalogie.
En fonction de ses intérêts et de ses compétences, le jeune âgé de 16 à 25 ans se verra confier une mission selon ses intêrêts et ses compétences : photographie, numérisation, dépouillements des divers documents d'archives, relevés, publications des relevés, ou un rôle relationnel avec les Archives Départementales ou Communales en vue d'une indexation vers le site des archives. Les possibilités sont multiples.
A noter que certaines écoles pratiquent "la généalogie à l'école" et que certains jeunes pourraient être intéressés par une mission de ce type.
Les missions permettent à ces jeunes de s'engager sur des missions de 6 à 12 mois dans une mission en faveur de la collectivité.
L’Agence de Services et de Paiement (ASP) pour le compte de l’Agence du Service Civique verse au jeune une indemnité mensuelle de 446,65 euros ou plus suivant la situation du volontaire, complétée par une prestation minimale de 101,49 euros versée par la structure d'accueil.
Pour pour d'informations, consultez le site consacré au service civique de Culture.gouv
Si dans chaque département cette option est choisie pour numériser, indexer, publier des documents d'archives, alors les menaces qui pèsent sur nos archives seront IN-TE-GRA-LE-MENT anéanties.
Des outils de saisie de relevés gratuits, une main-d'oeuvre quasi-gratuite : des associations généalogiques ont déjà choisi cette option, alors pourquoi pas vous ?
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HERROU Bernard (vendredi, 27 janvier 2012 19:07)
Bonsoir à toutes et à tous,
Il me semble que certains cercles de Généalogie sont autorisés à utiliser des personnes dans le cadre du Service Civique.
L'Entraide Généalogique du Midi-Toulousain (EGMT) serait du nombre, la question peut-être posée à son Président: Fabrice Andrieux
fabrice.andrieux.toulouse@orange.fr
L'adresse du site est :
http://egmt.org
Avec mes amitiés
Bernard Herrou
François Lafrenière (vendredi, 21 juin 2013 23:08)
Il y a plusieurs années que les sociétés d'histoire et de généalogie (cercles ou associations) québécoises utilisent les programmes d'emploi gouvernementaux pour effectuer de tels relevés et ce, tant pour les étudiants, les chômeurs que les assistés sociaux. Certains "dépouillent" les registres, d'autres informatisent les données recueillies et d'autres qui mettent en page le résultat en prévision de les publier. Le bénévolat seul ne suffirait pas. Ce qui n'empêche pas que la supervision de ces stagiaires est effectuée par des bénévoles... Ce que j'ai fait moi-même pendant des années.
archivespubliqueslibres (vendredi, 21 juin 2013 23:23)
Oui François, les moyens existent. Il suffit de les exploiter.
Bonjour au Québec.